Par CAS-INFO
Le refus des autorités congolaises de laisser Moïse Katumbi entrer dans le pays samedi a suscité beaucoup d’indignations. Dans cette épreuve, l’ex gouverneur du Katanga a pu compter sur le soutien de son épouse, Carine, pour qui, le mensonge du Gouvernement sur les affaires accablant son mari d’opposant éclate au grand jour.
« Des années qu’ils vocifèrent… « mandat de prise de corps » … « ordre d’arrestation » … bla bla bla. Leurs allégations s’écroulent comme un château de cartes. », a tweeté Carine Katumbi avant d’ajouter en lingala, « Vérité eyaka na escalier », « la vérité finit toujours par triompher ».
Ce n’est pas la première fois que Madame Katumbi prend la parole dans la mésaventure frontalière du candidat d’Ensemble à la présidentielle. Le vendredi 3 aout lorsque Moïse Katumbi faisait face à un poste frontalier de Kasumbalesa déserté des agents de la migration, elle s’était déjà fendu d’un tweet ironique. Moquant le « créancier » qui refuse d’ouvrir la porte à son « débiteur ».
Quelqu’un se présente chez vous pour payer une dette. Vous, le « créancier » refusez d’ouvrir le portail. Le débiteur insiste et passe par un petit trou. Vous le « créancier » refusez même que vos enfants ouvrent la porte d’entrée de la maison😒Qui doit à qui? #RetourKatumbi
— Carine Katumbi (@carine_katumbi) 3 août 2018
Après deux tentatives pour entrer dans la ville de Lubumbashi via la Zambie, Moïse Katumbi s’est vu signifié par le par le gouvernement zambien le « refus » de leurs homologues de Kinshasa de le laisser entrer.
Meme un petit enfant save bien que le pouvoir de kinshasa a peur de mr MOISE KATUMBI. Katumbi est popilaire partout au pays. On lui prive meme le droit d’etre emprisonner, ça fait rire, il serait mieux de chasser le pouvoir de kinshasa par les armes. Kinshasa n’a pas meme des militaires pour faire la guerre parce qu’ils sont demoralisé, mal payé.