Par CAS-INFO
Les témoignages des avocats des Établissements Nawal Kdouh Entrepreneuriat (NKE) parvenus à CAS-INFO l’intention jugée « malveillante » qui avait caractérisée l’homme d’affaires Didi Kinwani à « vouloir prendre de force » la parcelle appartenant à des Etablissements NKE ».
« La vérité enfin découvert à travers la signature de l’avenant numéro 002 du 19 octobre 2018 consacrant la durée des travaux à 32 mois à partir du 1er février 2019 alors que Mr Kinwani se prévaut du contrat initial du 14 avril 2014 abrogé à cause d’un procès sur ladite parcelle qu’il cachait à Madame Nawal. Son escroquerie enfin découvert « , a lâché à CAS-INFO, un des avocats de Nawal Kdouh.
Ces établissements se disent être victimes d’une tentative d’escroquerie de la part de M. Kinwani Kikunda au sujet de la parcelle située sur le Boulevard du 30 juin n°14/A, dans la commune de la Gombe, dont ce dernier fut à l’époque propriétaire.
Selon les avocats conseil des Etablissements NKE, M. Kinwani Kikunda s’investit dans une ferme détermination de nuire foncièrement aux intérêts légitimes de leurs clients et s’accaparer d’un bien qui ne lui appartient pas.
Selon les avocats des établissements KNE, « Didi Kinwani, ancien propriétaire de la parcelle sous évoquée, avait trouvé opportun d’exécuter un projet de construire deux immeubles modernes « Dikin Center » et « Dikin Tower » dotés des bureaux et appartements.
Ne disposant pas des revenus nécessaires et suffisants pour la réalisation de cet ouvrage, l’homme d’affaires congolais qui a battu sa fortune dans le diamant, avait sollicité un financement auprès des Ets Nawal Kdoudh Entrepreunariat (NKE) spécialisés principalement dans le domaine de la construction et de la gestion immobilière en RDC.
En date du 14 avril 2014, un contrat de partenariat pour la construction d’immeuble sera conclu entre les deux parties en vue d’un partage des droits de principe équitable alors que les apports ne s’avéraient nullement équitables.
Il s’en suivra la signature d’un avenant en date du 28 novembre de la même année pour modification des plans de construction et rétablissement de l’équilibre dans le partage, tenant compte de l’apport de chacun.
Et plus tard, M. Kinwani Kikunda va multiplier des subterfuges et surenchères partant des spéculations aléatoires et remises en cause des accords alors qu’il cachait à son contractant que ses droits de propriété étaient déjà contestés par devant les cours et tribunaux.
Cependant, revenant à la raison, il acceptera de compenser le coût supplémentaire des travaux réalisés par les Ets. A la signature dudit avenant, les contractants avaient approuvés librement au point 14 du préambule que la dite parcelle constituait désormais une copropriété définitive et irrévocable de toutes les parties.
Et en date du 19 octobre 2014, Kinwani signera une procuration spéciale donnée à son avocat conseil afin que ce dernier remplisse toutes les formalités d’usage ainsi que l’application du principe de partage des appartements des immeubles.
Par la suite, M. Kinwani adressera une correspondance aux Ête NKE pour solliciter un prêt de 50.000Usd à rembourser pour couvrir une procédure judiciaire.
Curieusement, après avoir perçu la somme exigée auprès de nos clients, il se rebiffe et contre toute attente en date du 13 mars 2020, nos clients recevront une assignation où Kinwani fait totalement et volontairement abstraction de toutes les dispositions prises lors de la signature de l’avenant au contrat de partenariat du 14 avril 2014 pour ne revenir aux dispositions antérieures dudit contrat et du premier avenant devenues caduques alors que seul l’avenant n° 2 constituait la seule source juridique pour l’établissement de l’acte de base conduisant à l’établissement des titres de propriété.
Ainsi, après cet éclairage de faits, les avocats conseil des établissements NKE estiment que M. Kinwani Kikunda démontre sans nul doute, la mauvaise foi dans l’exécution des accords, la cristallisation de la tentative d’escroquerie et la démonstration de sa ferme détermination de nuire foncièrement aux intérêts légitimes de leurs clients.
Face à cette escroquerie à ciel ouvert, la partie Nawal a saisi les autorités du pays pour que ses investissements soient protégés. Il s’agit clairement de ne pas se laisser prendre dans cet engrenage traduisant le vrai gangstérisme.