Par Siméon Isako
La sortie officielle de l’Union Sacrée a vécu le samedi 29 avril 2023.
Plusieurs partis de cette coalition présidentielle ont mobilisé pour la réussite de cette manifestation.
Le congrès National congolais (CNC) de Pius Muabilu était pas en reste.
Selon les témoins , le CNC a fortement mobilisé pour que le plein enregistré lors de cette activité connaisse un caractère opposable à tous.
Les militantes et militants du CNC ont pris d’assaut toutes les voies d’entrée du stade pour témoigner leur attachement à la République et exprimer leur soutien indéfectible à l’action du Chef de l’Etat.
« L’autorité morale et visionnaire du parti, le Bureau politique, les ligues de jeunes et de femmes, les animateurs, tous ont répondu présents dans un stade rempli comme un œuf qui a d’ailleurs refoulé du monde« , déclare le porte parole Célé Kanangila. D’après lui, « les militants du CNC sont arrivés vers 6h, au stade et y sont restés toute la journée, preuve de la discipline et de l’attachement aux valeurs Républicaines qui règnent dans ce parti créé depuis 2011 par l’actuel Ministre d’Etat à l’Urbanisme et Habitat ».
D’après le président intérimaire du congrès National congolais, « l’engouement constaté au stade fait comprendre que le peuple accompagne les efforts fournis par le Président de la République pour le développement du Congo« .
Meschak Mandefu estime que « Ceux qui critiquent à longueur des journées l’action de Félix Tshisekedi, ont un agenda caché, celui de vendre le pays aux étrangers. L’heure est arrivée pour que la RDC récupère sa totale souveraineté longtemps bradée par ceux qui se font appelés opposants aujourd’hui« , a-t-il dit.
Et d’ajouter, « Tout le projet de balkanisation ne passera jamais car le peuple congolais est à nouveau debout derrière son Président qui se bat jours et nuits pour changer les choses« .
Pour Meschak Mandefu, « la mobilisation réussie au stade des martyrs , est geste irréfutable que la population porte Félix Tshisekedi et que tout discours mensonger développé par les ennemis de la République, ne passe pas« .