Par Siméon Isako
Le secrétaire général de l’Udps a dans une interview accordée ce mercredi 16 décembre à CAS-INFO, démenti les propos qui lui sont attribués faisant d’une nomination par le chef de l’État d’un informateur dans 48heures.
Augustin Kabuya qui dénonce ce « sabotage communicationnel », exprime ses regrets par rapport à ces pratiques qui ne « paient » pas.
« Non je n’ai jamais dit ça. Dire que le chef va nommer l’informateur dans les heures qui suivent n’est pas synonyme de 48 heures », a précisé le chef de l’exécutif du parti présidentiel.
Le secrétaire général a aussi manifesté son mécontentement du fait que sa communication avec les femmes de l’Udps a été sabotée comme ce fut le cas avec le dossier Kamerhe où il lui a été « attribué » les propos selon lesquels il aurait dit que le procès était Politique alors qu’il « réclame jusqu’à ce jour sans succès l’audio de cette déclaration ».
« c’est de la même manière que l’une de mes matinées politiques, ma communication a été sabotée avec le dossier Kamerhe où on m’attribué des propos que je n’avais pas dis. Aujourd’hui encore on m’attribue les propos que je n’ai pas dis », a-t-il décrié.
Devant les femmes de l’Udps mardi à Kinshasa, Kabuya a appelé à l’unité afin de bien soutenir le chef de l’État et a rappelé le fait que désormais le président de la République dispose d’une majorité parlementaire pouvant l’aider à mettre en exécution sa vision.