Par CAS-INFO

Le Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication était face aux élus du peuple mercredi 29 Septembre 2021, pour répondre à une question orale lui adressée sur le registre des appareils mobiles, RAM.
Augustin Kibassa Maliba a expliqué avec « tous les détails possibles les contours du Registre des Appareils Mobiles (RAM) dont plusieurs n’arrivent pas à mieux cerner la quintessence ».

Selon sa cellule de communication, avec chiffres à l’appui, le Patron des PTNTIC en RDC a démontré les avantages du RAM et les résultats enregistrés depuis son lancement officiel le 24 septembre 2021.

« Alors que le ministre était clair dans son speech, des personnes animées de mauvaise foi, ont tordu le sens exact de ses propos au sujet de la gratuité de l’éducation », fait remarqué le service de communication d’Augustin Kibassa.

D’après ce service, « Contrairement à ce qui est relayé tambour battant dans les réseaux sociaux par certaines personnes mal intentionnées en quête du sensationnel », le ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la communication, dans ses réponses, n’a pas dit que le RAM finance la gratuité de l’enseignement. Il a plutôt parlé d’un accompagnement à travers le projet d’interconnexion des entités éducatives (SINTED) pour la publication des attestations de réussite, diplômes…afin de lutter contre la circulation des faux documents.

« …le RAM a permis l’accompagnement de la gratuité de l’enseignement avec le projet SINTED mêlant les ministères des PTNTIC, ESU et EPST pour l’interconnexion des entités éducatives telles des universités, des instituts supérieurs, des écoles… », a déclaré en substance Augustin Kibassa Maliba qui met au défi quiconque apporterait un avis contraire à ces propos.

Le ministre Augustin Kibassa Maliba a été invité à l’Assemblée nationale mercredi 29 septembre pour répondre à la question orale avec débat lui adressée par le député Misare Mugomberwa Claude sur le projet RAM. 48 heures lui ont été accordées pour apporter des réponses aux préoccupations soulevées lors du débat par les députés nationaux.