Par Siméon Isako
La journée internationale des droits de la femme a été également célébrée ce 8 mars par les femmes de l’inspection générale des Finances.
Leur cérémonie a été organisée autour du thème: « La femme en première ligne contre la corruption, les détournements et les antivaleurs« .
La direction de l’IGF, engagée dans la croisade contre les fossoyeurs des Finances publiques, a bien voulu que cette célébration soit commémorée par un partage scientifique avec les femmes de ce service.
Les femmes oeuvrant à l’IGF ont été sensibilisées tour à tour par l’inspecteur général des Finances et chef de service adjoint, Victor Batubenga et l’inspectrice générale des Finances, cheffe de brigade, Rita sur leur « rôle à jouer dans la grande lutte contre la prévarication et tout ce qui tourne autour »
Pour Victor Batubenga, « Partant de son rôle au sein de la famille, la femme jouit d’un poids moral notamment dans l’éducation de l’enfant pour le détourner du mauvais chemin, de la dégradation des valeurs comme la corruption et bien d’autres« .
Selon le service de communication de l’IGF cette activité est aussi justifiée par le fait que « les femmes doivent intérioriser les bonnes valeurs pour mieux mener le combat en apportant leur pierre à l’édifice« .
La première femme inspectrice générale des Finances a de sa part insisté sur « la partition que doit véritablement jouer la femme œuvrant au sein de l’IGF« .
« Sous la forme d’une journée de réflexion, l’occasion paraissait opportune pour les participantes de partager aussi les expériences vécues dans leur milieu professionnel dominé parfois par le harcèlement« , ajoutait le service de l’IGF.
Pendant ces échanges, le N°1 de l’IGF, Jules Alingete, en a profité pour témoigner sa reconnaissance, au-delà d’un simple souhait de routine, à l’endroit de toutes les femmes qui comptent parmi les forces vives de son institution pour les actes posés et l’œuvre accomplie dans l’exercice de leurs tâches respectives particulièrement dans la gestion des finances publiques.
Jules Aligente a dit vouer vrai un culte à toutes ces dames qui ont banni toutes sortes de complexes pour donner le meilleur d’elles-mêmes et mériter, par ricochet, la confiance qu’il a placée en elles.