Par CAS-INFO

« Au regard des preuves accablantes, des vidéos ainsi que les dépositions des témoins dont dispose le tribunal, les carottes semblent être bien cuites pour le responsable de l’église ACK qui visiblement aura du mal à s’échapper à une sanction judiciaire exemplaire », a lâché à CAS-INFO une source proche du dossier qui estime que « l’évêque Pascal Mukuna a été totalement chargé et n’ esquivera pas la rigueur de la loi à cause de ces preuves accablantes ».

Dans sa comparution en tant que témoin, Monsieur Joseph Olengankoy, président du CNSA a reconnu avoir joué la « médiation ». Le procureur général Mukolo et le pasteur Espérant Mbakadi auraient joué le même rôle, à en croire un haut magistrat ayant requis l’anonymat, pour régler à l’amiable cette affaire.

« Contrairement aux élucubrations répendues aux quatre vents par les adeptes et sympathisants de l’évêque Mukuna, lorsque l’affaire de sextape éclata au grand jour, beaucoup de gens ont cru que la veuve Mamie Tshibola n’existe pas ou l’affaire serait montée de toute pièce par les détracteurs de ce dernier », déclare l’un des avocats de Mamie Tshibola qui rappelle que « Mukuna lui-même criait au complot et qu’il serait victime d’un coup fourré venant d’une officine politique, en l’occurrence le FCC ».

L’entourage de Mamie Tshibola sollicite que la justice face correctement son travail de sorte que leur Tshibola soit remise dans ses droits

Placé en détention provisoire depuis le 13 Mai dernier à la prison centrale de Makala, Mukuna est accusé par Mamie Tshibola de viol, détention illicite des documents parcellaires et menace de mort.