Par Chris Elongo
Après la session extraordinaire convoquée dans les deux chambres du Parlement, sur demande du Chef de l’Etat, pour terminer la législation de la loi portant statut des anciens Chefs d’Etat élus de la RDC, au mois de juillet dernier, la session ordinaire de septembre s’ouvre, ce samedi.
Cette session sera essentiellement budgétaire, malgré les arriérés législatifs qu’accuse le Parlement. Mais également, elle pourrait déboucher sur certains contrôles parlementaires.
Christophe Lutundula, Député national, interrogé par Top Congo, ce samedi, propose qu’au cours de cette session, une commission soit mise en place pour évaluer le travail abattu par l’Assemblée Nationale en 5 ans.
Il demande également au Premier Ministre, Bruno Tshibala de déposer le budget pour l’exercice 2019 afin que « les nouvelles institutions qui seront mises sur pieds après les élections ne manquent pas de quoi fonctionner ».
Par ailleurs, cette session s’ouvre dans un contexte très particulier, où les élections devront se tenir, en principe, le 23 décembre prochain. A trois mois de l’organisation de ce scrutin, un consens n’est toujours pas trouvé autours des questions cruciales liées au processus électoral. C’est par exemple, l’utilisation de la machine à voter et les 6 millions d’enrôlés sans empreintes digitales.
Il est souhaitable de degager un consensus autour de la machine à voter,d’autant plus que la loi n’y avait fait mention nulle part. Cela éviter au pays tous risques de soulèvement.
Ebola qu’on a cru vaincre a refait surface deux jours après l’annonce de son extermination, il serait mieux de l’éradiquer totalement avant de crier à la victoire.
Il est souhaitable de degager un consensus autour de la machine à voter,d’autant plus que la loi n’y avait fait mention nulle part. Cela évitera au pays tous risques de soulèvement.
Ebola qu’on a cru vaincre a refait surface deux jours après l’annonce de son extermination, il serait mieux de l’éradiquer totalement avant de crier à la victoire.