Par Joe Kazumba/stagiaire
A la suite d’une réunion tenue par l’UDPS/Tshisekedi en son siège de Kinshasa, mardi 06 mars, au cours de laquelle les participants ont, entre autre, débattu à propos d’une liste qui appartiendrait au ministère de l’intérieur, concernant « les partis autorisés à fonctionner », circulant sur les réseaux sociaux ; un communiqué a été publié.
Dans la note, l’UDPS se dit « ne pas être surpris de constater que cette démarche rentre dans le plan machiavélique concocté de longue date par les services secrets du pouvoir en place, en vue de liquider ce patrimoine national dont le destin se conjugue avec celui de tout un Peuple et l’histoire écrite en lettres de sang de plusieurs de nos compatriotes ».
Malgré le rejet de la fameuse liste par le vice-ministre de l’intérieur, Basile Olongo, le parti du feu Etienne Tshisekedi affirme qu’il est reconnu par la loi. Pour étayer sa thèse, il rappelle au passage sa participation à l’Accord global et inclusif de Sun City au début des années 2000 en tant que parti reconnu par la loi.
Puis « met en garde le pouvoir en place contre toute tentative consistant à l’effacer de la scène politique congolaise afin de renforcer la dictature ».