Par Roberto Tshahe
« Plusieurs personnes oublient que lors de discussions directes à la CENCO, la classe politique entière a demandé à la CENI de réduire le temps de la période pré-électorale, mais aussi, le coût des élections ». C’est en ces termes que Jean-Thierry Monsenepwo, communicateur de la Majorité présidentielle (MP), a tenté d’expliquer l’utilité de la machine à voter lors de l’entretien accordé à Cas-info lundi 19 fevrier.
« C’est en fonction de ça que le président de la CENI a pensé en une solution qui puisse réduire le temps, argumentait-il, en évitant le timing lié aux impressions des bulletins de vote ». Il évoque notamment les économies que la machine à voter fera épargner à l’État congolais, « 135 millions de dollars ». Puis, la présence des témoins qui auront « accès aux PV de début du vote dans les bureaux et aussi, aux PV de clôture, sans oublier les PV de dépouillement des bulletins dans l’urne » ; offrant un « caractère fiable au vote ».