Par Siméon Isako

La présidente de l’Assemblée nationale a échangé vendredi 18 septembre 2020,avec la délégation du mouvement du fonds global de réparation de la fondation Panzi conduite par sa coordinatrice nationale, Tatiana Mukanire.

Les échanges entre Mabunda et cette délégation ont essentiellement tournés sur sur le volet des violences sexuelles à l’égard de femmes sous diverses formes.
Cette structure voulait avoir plus d’informations sur l’évolution du dossier de ce projet de loi qui lutte et sanctionne les violences.

« Très touchée » par le discours de la présidente de la chambre basse du parlement lors de l’ouverture de la session ordinaire de septembre , le mouvement des survivants du fonds global de réparation de la fondation Panzi insiste sur le fait que « les survivants des violences sexuelles ont le droit d’être protégés dans la société.Et pour ce faire,il faut voter des lois qui les protègent et leur permet de vivre en toute quiétude ».
Jeanine Mabunda leur a promis le soutien de son institution qui va les accompagner dans leur combat, afin de « briser le silence qui entoure souvent ces violations de droit ».
A en croire la responsable de la structure, la vision du mouvement des survivants des violences sexuelles est de voir « la RDC devenir un jour, un pays sans viol,ni violences sexuelles à l’égard des femmes ».