Par Siméon Isako
Modeste BAHATI Lukwebo, président de la plateforme politique AFDC-A, fustige ce qu’il qualifie de « persécution fiscale » qu’il subirait de la part des services publics.
« En sus de la persécution politique, c’est maintenant la persécution fiscale, économique et financière à travers les régies financières et les services publics de l’État », a dénoncé Modeste Bahati.
L’ancien ministre en appelle au respect des principes d’un état de droit.
L’ homme d’affaires et patron des Entreprises du groupe Taverne, a été radié du FCC pour s’être opposé à la candidature de Alexis Thambwe Mwamba à la présidence du sénat.
« Ceux qui veulent régler des comptes à Bahati Lukwebo à travers les régies financières ont tort. Nous les surveillons.C’est inacceptable » a tweeté, Jean Claude Katende, président de l’ONG de droits de l’homme, ASADHO.