Le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’Homme  accuse les agents de l’État d’être responsables de près de 60% des violations des droits de l’homme documentées en ce moi de mai 2017 en RDC.

En effet, les victimes dénombrés développe le rapport, sont la plus part « issues des zones affectées par le conflit, notamment dans les provinces du Kasaï. » Selon le Bureau conjoint. La Police nationale congolaise compte à elle seule « 103 violations des droits de l’homme ». 66 cas d’exécutions extrajudiciaires ont été enregistrés et 40% d’entre eux sont attribués aux groupes armés. on note par ailleurs 36 cas d’exécutions sommaires.

Le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’Homme a recensé 431 cas de violations des droits de l’homme au mois de mai, sur l’ensemble du territoire de la RDC, selon ce même rapport rendu public ce 21 juin. 35 cas de moins par rapport au mois d’avril au cours duquel le BCNUD a compté 466 cas.