Par CAS-INFO
Si les délinquants financiers en veulent à Jules Alingete Key pour la matérialisation à la lettre de la vision du chef de l’Etat dans la bonne gouvernance, la lutte contre la corruption et la maximation des recettes de l’Etat par l’encadrement de la mobilisation des finances publiques a priori et a posteriori, le chef de l’Etat en fait un héros de la bonne santé financière qu’affiche le pays, au milieu des crises mondiales ayant négativement impacté l’économie mondiale. C’est non sans raison que Jules Alingete est admis, le 3 juillet 2021, dans l’Ordre national héros Nationaux Kabila-Lumumba.
Nommé le 1er juillet 2022 inspecteur général des finances chef de service, Jules Alingete Key trouve un service connu du monde de la haute finance, mais totalement méconnu du Congolais lambda, alors que l’Inspection générale des Finances (IGF) est créée par ordonnance n°87-323 du 15 septembre 1987 du Maréchal Mobutu en 1987.
A sa création et pendant de long règne de Mobutu (32 ans) comme durant les 21 ans du règne des Kabila (père et fils), l’IGF est un service quelconque du ministère des Finances, sans grande envergure.
Il a fallu attendre l’avènement du Fils du Sphynx de Limete, Félix-Antoine Tshisekedi, pour voir ce service jouer pleinement son rôle dans une République qui se veut démocratique.
Avec Jules Alingete Key à sa tête, l’IGF prend ses lettres de noblesse, un peu dans toutes les vieilles démocraties (France, Belgique, Etats-Unis…), où quand on Cite son nom, tous les gestionnaires tremblent à cause de sa fermeté.
Une révolution que l’on doit à cet économiste de formation qui a inversé la façon de voir les choses car, aujourd’hui, un ministre, un directeur d’entreprise se soumettent à l’audition des inspecteurs des finances. Du jamais-vu en RDC !
Ce qui passe pour une pilule amère dans la gorge des politiques (délinquants financiers) habitués à se remplir les poches, sans se soucier le moins du monde du qu’en-dira-t-on, encore moins de la loi.
Et c’est cette race d’opérateurs politiques qui cherchent des poux sur la tête de l’inspecteur général chef de service Jules Alingete.
Lorsque Fatshi exalte le travail d’Alingete !
En séjour au chef-lieu de la province de l’Equateur, Mbandaka, dans le cadre de la 9è édition de la Conférence des gouverneurs de provinces, le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, s’est dit très fier du travail qu’abat l’Inspection générale des finances sous Jules Alingete Key.
« Connaissez-vous l’IGF ? Nous avons constaté l’augmentation du budget grâce au travail qu’abat l’IGF », a-t-il dit en substance.
L’IGF qui n’est pourtant pas une régie financière est exaltée en public par le chef de l’Etat, c’est pour ainsi reconnaître le travail d’encadrement que mène ce service dans la mobilisation des recettes publiques, avec sa patrouille financière.
Cette patrouille financière générale dans les finances publiques reste la clé principale de l’éradication des antivaleurs dans la gestion publique. Ce qui a permis à l’Etat d’atteindre un niveau de mobilisation des recettes publiques propres de l’ordre de 10 milliards USD alors qu’avant 2020, cette mobilisation se situait à 3 milliards USD. Et cette performance se réalise malgré les différentes crises mondiales ayant négativement impacté l’économie mondiale, de 2020 à ce jour (Covid-19, guerre russo-ukrainienne).
Ceux qui s’attaquent (détracteurs) aux rapports et enquêtes de l’IGF ont là la réponse du président de la République, sous l’ordre duquel travaille l’IGF.
Relation Fatshi-Alingete, c’est l’arbre et l’écorce
Félix-Antoine Tshisekedi connaît Jules Alingete Key dans les moindres détails et ne doute point de son niveau de sincérité et de sa loyauté, lâche un proche de l’inspecteur général des finances, chef de service.
Pour ses détracteurs qui s’attardent sur les auréoles glanées à l’international, notamment à Forbes, Jeune Afrique et autres structures internationales, Jules Alingete n’a pas été le seul Congolais sur la liste des nominés. On y retrouve aussi Patrick Muyaya, Nicolas Kazadi, Pascal Kinduelo… mais pourquoi on s’attaque à Jules Alingete, s’interroge son proche.
D’autre part, renchérit le même proche, Jules Alingete n’a jamais visité le Canada, mais ses détracteurs lui attribuent des voyages au Canada. De même, ses voyages aux Etats-Unis et en Europe, c’est sur autorisation expresse du chef de l’Etat. Car l’invitation est adressée à la Présidence de la République et Alingete, à la tête de l’IGF, service rattaché à la Présidence, est désigné comme tout autre fonctionnaire pour conduire l’équipe devant intervenir lors des ateliers de lutte contre la corruption, étant donné que son service est une pièce maîtresse qui a acquis de l’expérience dans la lutte contre la corruption. Il n’est nullement question d’un lobbying qui l’introduit dans ces différents ateliers.
S’agissant de l’enquête de Jeune Afrique ayant nominés 30 leaders africains qui font l’Afrique de demain, ses pourfendeurs en ont fait un problème particulier, alors que parmi les nominés ne figurent aucun politique, sinon des hommes d’affaires, des administratifs… qui, dans leurs secteurs respectifs, inaugurent une rupture avec un certain passé.
Tous les mandataires, ministres, contrôlés par l’IGF, et qui se sont retournés pour boutiquer de sales coups contre l’inspection générale des finances ou contre son inspecteur chef de service, ont fini par être arrêtés ou relevés de leurs fonctions, pour ainsi dire que l’IGF mène un travail de fourmi, appuyé des pièces à conviction.
Enfin, le proche d’Alingete a avoué la main sur le cœur que l’inspecteur général des finances ne nourrit aucune ambition politique. Ses détracteurs cherchent, par tous les coups de l’enfer, à semer l’ivraie entre lui et le chef de l’Etat.