La première plénière de la reprise des discussions de l’arrangement particulier laisse la Cenco avec le sentiment de doute. « On a l’impression que quelque part, ils sont tous d’accord de faire trainer les choses », s’est étonné Mgr Fridolin Ambongo, vice-président de la Cenco à la fin de la réunion jeudi soir.
Pour le prélat, les intérêts partisans priment par rapport aux intérêts supérieurs du pays, croit-il, en tout cas, face à la course aux postes engagés notamment dans les rangs de l’opposition. « Plus personne ne parle des élections, tout le monde parle des postes », a fustigé le numéro 2 de la Cenco.
Il lance ainsi un appel aux Congolais à maintenir la pression sur la classe politique qui, selon lui, ne tient même pas compte des souffrances de la population
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