Par CAS-INFO
Dotée d’une expertise avérée dans la fabrication des plaques d’immatriculation, la société Maximum B fait peur, très peur à ses concurrents. Ayant fait preuve de son savoir-faire, notamment dans la fabrication des plaques d’immatriculation des motos, en collaboration avec l’Hôtel de ville de Kinshasa et la présidence de la République, cette société est victime d’une cabale visant à l’écarter de la compétition pour l’octroi du marché des plaques minéralogiques des véhicules sur toute l’étendue du territoire national, lancée par le Ministère des Finances au profit de la Direction Générale des Impôts (DGI).
Alors que l’on se trouve encore à l’étape de pré-qualification, un certain média d’informations en ligne, a prétendu, dans un article de presse publié mercredi dernier, que « d’ores et déjà, le ministre des Finances a exclu de ces marchés si juteux la société Maximum B ».
Une source proche du dossier rétorque que « la compétition est en cours » et elle désapprouve cette démarche diabolique à laquelle la presse a été malheureusement associée afin d’induire l’opinion publique en erreur.
Relevant qu’il appartient au seul ministre des Finances, en sa qualité d’autorité contractuelle, de prendre la décision d’écarter un tel ou tel autre souscripteur et note qu’à ce jour, « Maximum B n’a pas de concurrent national en mesure d’offrir au pays, comme le souhaite le gouvernement congolais, des plaques d’immatriculation made in DRC, véritablement fabriquées en RDC ».
Un ramassis de mensonges, contrairement aux affirmations faites par le média précité, nos sources martèlent sur le fait que « ce marché n’a jamais été accordé à Maximum B ou à une quelconque autre société ».
D’ailleurs, à quelques jours de la résiliation du contrat de partenariat conclu par la DGI et UTSH Congo en 2009 pour la fabrication des plaques minéralogiques, l’avis à manifestation d’intérêt N°CAB/MIN/FINANCES/CGMP/PPP/2022/01, lancé en mars dernier par le ministère des Finances, relatif à la pré-qualification au marché d’implantation des unités locales de production des plaques d’immatriculation des véhicules et au marché relatif au logiciel intégré d’immatriculation des véhicules en RDC serait toujours en cours.