Par Siméon Isako
Alors que les chefs d’État de la région, la communauté tant nationale qu’internationale attendent les résultats dans quelques heures, le mouvement du 23 mars se dit non concerné par les décisions de ce mini-sommet car n’ayant pas été présent à la table des discussions.
Concernant la fin des combats, le porte-parole du mouvement Lawrence Kanyuka explique que s’il n’y a pas d’attaques contre ses positions, le M23 respectera un cessez-le-feu qu’il dit d’ailleurs appeler de ses vœux depuis plusieurs semaines.
Au sujet du repli, le M23 s’y oppose. « Si le gouvernement congolais veut négocier, il doit le faire directement avec nous », indique le porte-parole qui rappelle que c’est leur position depuis le début des hostilités.
De son côté, Kinshasa fait savoir que le M23 a été représenté sur la table des négociations par le Rwanda qui est son parrain.
Avant ces pourparlers, les membres du Conseil de sécurité des Nations unies avaient demandé mardi l’arrêt des combats, le retrait du M23 des zones occupées et la fin de tout soutien extérieur aux acteurs armés non étatiques, y compris le M23 Alors les chefs d’État de la région, la communauté nationale et la communication attendent les résultats dans quelques heures, le mouvement du 23 mars se dit non concerné par les décisions de ce mini-sommet car n’ayant pas été présent à la table des discussions.
Concernant la fin des combats, le porte-parole du mouvement Lawrence Kanyuka explique que s’il n’y a pas d’attaques contre ses positions, le M23 respectera un cessez-le-feu qu’il dit d’ailleurs appeler de ses vœux depuis plusieurs semaines.
Au sujet du repli, le M23 s’y oppose. « Si le gouvernement congolais veut négocier, il doit le faire directement avec nous », indique le porte-parole qui rappelle que c’est leur position depuis le début des hostilités.
De son côté, Kinshasa fait savoir que le M23 a été représenté sur la table des négociations par le Rwanda qui est son parrain.
Avant ces pourparlers, les membres du Conseil de sécurité des Nations unies avaient demandé mardi l’arrêt des combats, le retrait du M23 des zones occupées et la fin de « tout soutien extérieur aux acteurs armés non étatiques, y compris le M23«