Le lieutenant-colonel Felix Prosper Basse a-t-il été expulsé du territoire national ? Selon les informations relayées par les médias lundi soir, le porte-parole de la Monusco, de retour d’un voyage dimanche, s’est vu refusé l’accès sur le territoire national de la RDC.
Des sources à la Direction générale des migrations, à l’aéroport international de Ndjili, évoquent l’expiration de la validité de son badge de service obligatoire pour le personnel de l’Onu en poste à Kinshasa et que M. Basse a l’habitude de présenter à chaque déplacement et retour au pays.
De là à conclure que le fonctionnaire des Nations-unis a été déclaré persona non grata par les autorités congolaises. Ce n’est pas l’avis de la Monusco. Dans un communiqué envoyé dans les rédactions, l’organisation onusienne a voulu tout de suite dissiper tout malentendu.
« Il s’agit d’un problème administratif en voie résolution », a écrit Charles Bambara, directeur de l’information publique à la Monusco qui annonce que son collègue sera de retour à Kinshasa dans les prochains jours pour reprendre ses activités.
Pour la Monusco, il s’agit d’éviter que l’idée d’un nouveau camouflet se repende dans l’opinion. La mission des Nations unies est encore traumatisée par l’expulsion en octobre 2014 de son directeur au bureau conjoint aux droits de l’homme.
Accusé de manque de « professionnalisme » et d’« honnêteté » dans les enquêtes menées au sujet des graves violations de droit de l’homme ayant émaillé l’opération « Likofi » initiée par le gouvernement visant l’éradication du phénomène « Kuluna », le banditisme urbain, Scott Campbell avait été lui, déclaré, persona non grata en RDC.
I l n’y a que mbemba que l’on pouvait arreter,non sans bonne raison, comme vs le savez parceque ,ce dernier constituer un danger pontentiel,pour les interet de lobby occidentaux.