Kamerhe, 100 jours

Par Siméon Isako

Le sujet continue à faire polémique et a poussé de nouveau le parti de Vital Kamerhe à donner de la voix.
A Kinshasa, certains Kinois n’hésitent pas à développer une thèse complotistr mettant en cause Vital Kamerhe dans le décès inopiné du juge Raphaël Yanyi qui présidait le procès de 100 jours.

Silencieux depuis la disparition du magistrat, l’UNC à tapé du poing dimanche. Dans un communiqué, le parti de « VK » à exprimé sa consternation face à ces insinuations.

« l’UNC consternée et soucieuse sur le décès inattendu du juge Raphaël Yanyi, elle condamne fermement cette campagne d’intoxication de l’opinion et dément toutes les accusations infondées portées contre elle et son président national », peut-on lire dans le communiqué signé par par Aimé Boji Sangara, secrétaire général a.i.

Toutefois, ce parti de CACH déplore les multiples décès enregistrés à la présidence de la République.

« Évitons d’utiliser la mort des compatriotes comme un outil de chantage politique et/ou d’instrumentalisation de la population », a renchéri le parti de Kamerhe.

Le jugé Raphaël Yangi est décédé le 27 mai dernier dans des circonstances non pas encore élucidées. Une autopsie a été effectuée le 29 mai et le résultat a été remis au procureur général de la République.