Par Siméon Isako
Au cours d’un point de presse animé ce vendredi 01 mai à Kinshasa par le secrétaire général de la Cenco, les représentants des confessions religieuses ont exprimé leur position concernant la gestion du Fonds national de solidarité, mis en place par le président Tshisekedi pour soutenir les victimes du Covid-19.
Selon l’abbé Donatien Nshole, il y a des préalables auxquels les autorités doivent répondre.
A l’en crorie, les modalités de cet accompagnement s’avèrent « incompatibles avec les statuts des chefs spirituels » qui refusent de gérer « au quotidien » les fonds publics, conforment à leur statut.
Pour rappel, le chef de l’État Félix Tshisekedi avait désigné il y a quelques jours, le cardinal Fridolin Ambongo pour piloter cette structure dont la gestion est confiée principalement aux leaders religieux.