Par Siméon Isako
Dans sa communication faite ce samedi 23 avril 2022, l’ONG américaine de défense de droit de l’homme, Human Rights watch est montée au créneau pour fustiger la brutalité dont ont été victimes les militants de l’ECIDé le vendredi 22 avril devant le palais du peuple et leur siège alors qu’ils opposaient à l’examen de la proposition de la loi électorale.
Cette structure condamne « l’usage excessif et inopportun de la force par les agents de maintien de l’ordre lors de la dispersion des militants de l’ECIDE alors que ces derniers manifestaient pacifiquement aux alentours du palais du peuple ».
D’après cette ONG, « Des informations concordantes » mises à leur disposition font état de plusieurs blessés graves et de l’arrestation de plusieurs personnes.
« Le siège de ce parti a également été vandalisé », souligne Human Rights watch qui rappelle que « les manifestations publiques pacifiques, même lorsque celles ci n’ont pas été notifiées aux autorités conformément à la constitution ne sauraient être dispersées violemment. Le droit à l’intégrité physique doit en tout temps être protégé et les civils interpellés traités dignement ».
Elle appelle aussi les militants des partis politiques à « respecter les procédures en vigueur en matière de manifestations publiques, à privilégier le dialogue et à respecter les instructions des forces de l’ordre ».
UNJHRO invite les autorités judiciaires et de contrôle du comportement des forces de l’ordre à ouvrir une enquête en vue de tirer les leçons de ces tristes événements et de traduire les responsables des violations des droits de l’homme devant les instances compétentes.
« A l’approche des échéances électorales, il est plus que jamais nécessaire de rendre effectif les lois garantissant la liberté de manifestation pacifique et encadrant son exercice », martelé l’ONG américaine qui réitère sa disponibilité de soutenir les efforts visant à prévenir les violences et à garantir un processus électoral respectueux des droits de l’homme.
Par Siméon Isako
Dans sa communication faite ce samedi 23 avril 2022, l’ONG américaine de défense de droit de l’homme, Human Rights watch est montée au créneau pour fustiger la brutalité dont ont été victimes les militants de l’ECIDé le vendredi 22 avril devant le palais du peuple et leur siège alors qu’ils opposaient à l’examen de la proposition de la loi électorale.
Cette structure condamne « l’usage excessif et inopportun de la force par les agents de maintien de l’ordre lors de la dispersion des militants de l’ECIDE alors que ces derniers manifestaient pacifiquement aux alentours du palais du peuple ».
D’après cette ONG, « Des informations concordantes » mises à leur disposition font état de plusieurs blessés graves et de l’arrestation de plusieurs personnes.
« Le siège de ce parti a également été vandalisé », souligne Human Rights watch qui rappelle que « les manifestations publiques pacifiques, même lorsque celles ci n’ont pas été notifiées aux autorités conformément à la constitution ne sauraient être dispersées violemment. Le droit à l’intégrité physique doit en tout temps être protégé et les civils interpellés traités dignement ».
Elle appelle aussi les militants des partis politiques à « respecter les procédures en vigueur en matière de manifestations publiques, à privilégier le dialogue et à respecter les instructions des forces de l’ordre ».
UNJHRO invite les autorités judiciaires et de contrôle du comportement des forces de l’ordre à ouvrir une enquête en vue de tirer les leçons de ces tristes événements et de traduire les responsables des violations des droits de l’homme devant les instances compétentes.
« A l’approche des échéances électorales, il est plus que jamais nécessaire de rendre effectif les lois garantissant la liberté de manifestation pacifique et encadrant son exercice », martelé l’ONG américaine qui réitère sa disponibilité de soutenir les efforts visant à prévenir les violences et à garantir un processus électoral respectueux des droits de l’homme.