Par Siméon Isako
Les ONG de lutte contre la corruption ainsi certains journalistes devenus défenseurs des « fossoyeurs » des Finances publiques « à coup d’argent volé du trésor public », oeuvrent pour contrer les efforts entrepris par l’IGF dans la lutte contre la corruption, le détournement et autres crimes économiques afin que le pays ne se hisse pas au top des pays les plus corrompus du monde. Cette institution a réussi à faire gagner le pays deux places dans le rang des pays les plus corrompus.
« Notre pays se trouve en une phase cruciale de la corruption comparable à la situation que l’Italie a vécu vers et entre 1970 et 1980 » renseigne le service de communication de l’inspection générale des Finances.
« La pègre des criminels économiques
Institutionnels gagne du terrain en recrutant les ONG, les journalistes pour leur cause », decrie-t-elle.
Dans un communiqué parvenu ce week-end à CAS-INFO, l’Inspection Générale des Finances rappelle que « la cause principale de la paupérisation des populations congolaises se trouve dans la corruption et les détournements des deniers publics par l’élite du Pays »
Pour bien lutter contre ces fléaux, l’IGF appelle à la création d’un « tribunal special chargé de réprimer la corruption et les detournement des derniers publics ».
Cet instance de chargera aussi de « renforcer des peines rattachées à ces fleaux ».
« Il est parfois insultant de voir les criminels économiques continuer à narguer notre population au lieu de faire profil bas », déplore l’IGF.
Et d’ajouter, « La RDC est parmi le rare pays au monde où l’on devient riche après avoir été premier ministre, ministre, Directeur Général des organismes publics, directeur des impôts, des impôts ,des douanes ,de la paie des enseignants et des militaires ».
Dans ce document, « l’inspection Générale des Finances note avec regret les déclarations ces derniers temps de certains journalistes corrompus ainsi que d’une ONG chargées de la promotion de la Corruption dans le cadre du dossier Bukanga-lonzo et du contrôle de la Province de Lualaba ».
« Tôt ou tard, la RDC se relèvera et la sanction de l’histoire sera sans appel », conclut ce communiqué de presse.