Par Jonsard Mikanda
C’est pour la énième fois que le directeur de cabinet du chef de l’État tente sans succès d’obtenir la liberté provisoire.
Ce mercredi, c’est la cour de cassation qui a confirmé le refus de la liberté provisoire comme décider par la cour d’appel de Kinshasa Gombe.
Un nouveau refus qui oblige au président de l’UNC à attendre le procès en appel de son jugement, le 7 Aout prochain à Makala.
Vital Kamerhe a été condamné par le Tribunal de Grande Instance de la Gombe à 20 ans des travaux forcés, dans le volet « construction des maisons préfabriquées » du programme d’urgence du chef de l’État.