Par Espérant Keke
Le Collectif d’Actions de la Société Civile (CASC) dénonce la répression « sanglante » de son sit-in organisé devant l’hôtel du Gouvernement, le 19 septembre dernier.
D’après cette structure, cette répression « barbare » par la police d’une action non-violente, pacifique et légale, dont ont été victimes les militants du CASC, sous les regards complices des autorités congolaises, pourtant formellement informées de la tenue de la dite manifestation, est une honte pour la République.
En termes de bilan, le CASC fait savoir que cette « répression » a fait 5 blessés, dont 4 graves, qui ont été immédiatement hospitalisés.
Le 19 septembre dernier, le CASC avait organisé un sit-in devant l’hôtel du Gouvernement, pour exiger une transition « citoyenne » à l’effet d’obtenir l’organisation des élections démocratiques, transparentes et inclusives, « porteuses des perspectives d’espoir ».