Par Tony-Antoine
Dans une déclaration politique parvenue à Cas-Info dans la soirée du mercredi 03 janvier, les partis de l’opposition faisant partie du gouvernement Tshibala condamnent tout acte de « nature à retarder la tenue des élections ».
« Les regroupements et partis politiques de l’opposition au Gouvernement condamnent toute manipulation du peuple conduisant à la désobéissance civile, au désordre, à des actes de vandalisme et de contestation non fondée de nature à retarder la tenue des élections… » Pouvons-nous lire dans cette note cosignée par José Makila, Lisanga Bonganga, Azarias Ruberwa, Michel Bongongo, Steve Mbikayi et Emery Okundji. Respectivement vice-premier ministre, ministre d’Etat et ministres.
Ces personnalités se disent rappeler « les principes » de l’accord de la Saint Sylvestre tel, « le président de la République en fonction demeure en place jusqu’à l’installation du nouveau président élu conformément à l’article 70 de la constitution ».
C’est « à la suite » des marches du 31 décembre 2017, appelées par le Comité Laïcs de Coordination et dispersées par les forces de sécurité que ces regroupements et partis politiques ont tenu faire une « mise au point ».