L’ancien Premier ministre sort de nouveau de son silence. Dans une tribune publiée dans Jeune Afrique ce jeudi, Samy Badibanga livre son analyse de la crise qui agite le pays. « Une crise [qui] s’est doublée d’une autre, économique celle-là, consécutive à l’incertitude politique, mais aussi à la chute des prix des matières premières minières, dont le pays est exportateur, et à l’assèchement des réserves de change qui provoque une inflation galopante », écrit l’ex locataire de la rue roi Beauduin.
Ainsi, pour lui, la solution à cette situation réside dans la résolution, au préalable, de la crise politique, dont le débat porte sur l’organisation ou non de la présidentielle cette année. Samy Badibanga a un schéma à ce sujet :
« Je propose donc la convocation du corps électoral en vue de la présidentielle 90 jours avant la fin de l’année, soit au 2 octobre, ce qui correspond au temps supplémentaire prévu par l’accord et respecte la Constitution. Cette convocation peut se faire concomitamment avec le processus d’enrôlement dans le Grand Kasaï pour avoir le fichier électoral à jour pour la présidentielle », écrit le Premier ministre issu de l’accord de la cité de l’UA.
Une élection qui devra bénéficier de l’aide de la communauté internationale, suggère-t-il.
Actuellement il faut que tous le monde (opposition, majorité présidentielle ) pensent à l’alternance politique , car c’est sa le lien de causalité des crises qui traverse le pays.
Nous peuple congolais. ,ns exigeons la presidentielle conformément aux accords signés et à la constitution du pays pas plus pas moins.si vous les occidentaux vous continuez toujours à soutenir votre pillon mr alias Kabila,nous peuple congolais nous savons quoi faire avec vous.