Le conflit était encore latent entre l’opposition qui multipliait des dénonciations d’une « préparation du référendum, » dans le camp présidentiel, et la Majorité présidentielle qui ne se fatiguait pas de contre-attaquer « des procès d’intention » de ses adversaires. Il est désormais ouvert, depuis le télescopage médiatique entre le secrétaire général adjoint de la Majorité présidentielle, Joseph Kokonyangi, et Christophe Lutundula, l’un des cadres de la coalition de 7 partis politiques ayant divorcer d’avec la MP pour dire « NON » au projet de référendum, le G7.
Depuis son séjour à Lubumbashi, Joseph Koko Niangi a relevé les échecs des négociations entre la Majorité présidentielle et l’opposition enregistrés aux concertations nationales, au dialogue de la cité de l’Union africaine et celui du centre interdiocésain, pour soutenir les « désaccords » persistant entre les 2 tendances qui lui permettent de souligner la pertinence de remettre le pouvoir décisionnel à son détenteur souverain, le peuple congolais, qui peut l’« exercer directement par voie de référendum ou des élections et indirectement par ses représentants, » afin que ce dernier dans ce contexte, en fasse usage par voix référendaire.
« Tout est clair, comme de l’eau claire dans un verre clair. » Plus question de crier au « procès d’intention. » La Majorité présidentielle ne veut pas des élections et « le projet de référendum est toujours sur la table de la Majorité qui veut se maintenir au pouvoir par la force, »a dénoncé Christophe Lutundula, avant de réitérer l’appel du G7, du Rassemblement de l’opposition donc, à « l’ensemble des forces de changement politiques et sociales, de se lever comme un seul homme, « Debout congolais » comme l’on demandé les évêques, pour contrer cette imposture, cette provocation à la limite d’une déclaration de guerre. »
Chrristophes Lutundula a cité les évêques catholiques. Ces derniers viennent d’annoncer le lancement officiel de leur campagne pour les manifestations pacifiques sur l’ensemble de la République démocratique du Congo « Le pays va mal. Debout congolais. » L’obstacle à franchir, c’est un peu les mesures officielles contre les manifestations publiques, en vigueur dans plusieurs villes de la RDC, notamment Kinshasa.
Nous sommes très déçus du président kabila qui avait suscité beaucoup d’espoir dans la jeunesse congolaise,aujourd’hui tous les jeunes congolais
acceptent de mourir loin de leur pays que de vivre la misère provoquée par celui en qui on avait cru. comment revaloriser une jeunesse dont les parent n’ont pas le pouvoir sur eux par manque de moyen? sans salaire,les fonctionnaires vivent toujours l’espoir d’un lendemain meilleur.
Chers tout le monde,même si MOBUTU était mauvais pas au niveau de la cruauté de JK