Par Siméon Isako

Ces travaux qui débutent ce 21 février et se clôturent le 26 du même mois, seront conduits par le ministre des Hydrocarbures, Didier Budimbu.

Il s’agit de mener une réflexion en lien avec le
du développement de Muanda de la base au sommet.

Près de 200 participants y sont attendus en vue de passer au peigne fin les questions de développement de la cité balnéaire.

Cette table ronde a comme objectif d’évaluer les résolutions et recommandations de la précédente rencontre.

Ils pancheront sur l’identification des problèmes récurrents auxquels il faut apporter des solutions durables. En sus, préparer un projet d’arrêté ministériel portant organisation et fonctionnement des comités de concertation pour valider, au bout du compte, la planification stratégique 2022-2026 et le programme d’intervention sociale et de développement pour l’exercice 2022 sur la base du cahier de charges des communautés de concertation.

Il importe de rappeler que depuis son avènement au sommet de la nation, Félix Tshisekedi a à cœur de booster le développement tous azimuts de l’ensemble du territoire en faisant participer toutes les forces vives en général.

Et plus particulièrement cette cité côtière, qui est une des mamelles pétrolières ayant bénéficier, grâce à l’implication du ministre des Hydrocarbures de 10 millions de dollars (équivalent de 15 % de la signature de l’avenant 9 du contrat signé avec Perenco pour contribuer à sa reconstruction dans la perspective de l’édification du port en eau profonde de Banana.

Comme on le voit, on s’active pour que cette cité balnéaire puisse revêtir ses plus beaux atours et être davantage attractive, pour, à la clé, accroître le trafic.

La cité de Moanda est le seul territoire pétrolier où de grandes sociétés exploitent l’or noir et cette exploitation génère de l’emploi qui naturellement permet le développement du territoire. Ce qui nécessite une excellente cohabitation entre les exploitants et les communautés locales.