Par Joe Kazumba/stagiaire
Florence Marchal, porte-parole de la mission onusienne en République Démocratique du Congo, s’est exprimée ce mercredi 28 février sur la mort de l’activiste du Collectif 2016, Rossy Mukendi, au cours du point de presse hebdomadaire de l’ONU. Cette enquête entre également dans le cas des violations des droits de l’homme se confiait-elle.
« L’enquête est en cours dans le cadre de notre mandat, nous menons les enquêtes sur la mort du militant pro-démocratie et sur les allégations de violation des droits de l’homme », a-t-elle déclaré.
Revenant sur la journée du dimanche 25 février, Florence Marchal rappelait que la Monusco avait « les équipes d’observation déployées ici à Kinshasa et sur l’ensemble de la RDC ».
Et « ce déploiement avait été précédé d’un dialogue mené par le responsable de la mission notamment par la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies, un dialogue qui avait été mené avec toutes les parties prenantes avant les manifestations de dimanche afin de s’assurer que les marches seraient pacifiques et que les manifestants et les forces de sécurité feraient preuve de retenue ».
Plusieurs voix s’étaient élevées après la mort de l’activiste Rossy Mukendi, survenue lors de la marche pacifique organisée par les laïcs catholiques le 25 février dernier.
Qu’est que la France peut bien faire elle qui soutient TOUJOURS l’Afrique pour bien VOLER ses ressources