Par Roberto Tshahe

Le Réseau européen pour l’Afrique centrale (EURAC) « exhorte l’UE et ses Etats membres à étendre les sanctions ciblées déjà imposées à de nouveaux individus, plus proches du cercle restreint du président Kabila, responsables des graves violations de droits humains commises à travers le pays, y compris les récents actes de violences perpétrés lors des manifestations des 31 décembre 2017, 21 janvier et 25 février 2018 ». Un passage du communiqué de presse de l’EURAC publié en début de soirée de ce lundi 26 février.

Ce réseau de 38 organisations de la société civile européen motive ce souhait  par « la répression violente » observée lors des manifestations politiques en RDC appelées par le Comité laïc de coordination.