Par CAS-INFO

Dans un document parvenu à CAS-INFO ce vendredi 03 septembre, les plus proches collaborateurs du président de la commission politique administrative et juridique du sénat, sont montés au créneau pour dénoncer la tentative de nuire à la réputation et succès de ce membre de la chambre haute du parlement Congolais.
Cependant, l’entourage et la Fondation Bakomito, se disent déterminés à soutenir leur président [Ndlr sénateur Jean Bakomito], afin que ses réalisations couvrent toute la contrée d’Isiro et la province du Haut-Uele en général.
Par ailleurs, ils estiment que les réalisations et la notoriété de Bakomito barrent la route à la campagne de sape initiée par les détracteurs de ce dernier.

Voici l’intégrité la réflexion des collaborateurs de Jean Bakomito

La montée fulgurante du Sénateur Jean Bakomito fait perdre le sommeil à certains opérateurs politiques de la province du Haut-Uélé qui voient en ce dernier un grand danger pour les prochaines échéances électorales en 2023.

Ce jeune sénateur et membre influent à la commission Paj au Sénat comme un éventuel remplaçant de Christophe Nangaa, jeune frère de Nangaa Corneille, en qualité de gouverneur de cette jeune province, ce dernier étant dans le viseur d’Aligente Jules, Inspecteur général de l’IGF, qui aurait déjà des preuves éloquentes sur le détournement des plusieurs fonds destinés au Haut-Uélé où tout semble tourner à rond.

Jalousie mal placée

En effet, tout est parti d’une simple rencontre sportive organisée par la Fondation Bakomito à Isiro pour marquer ses vacances parlementaires et laquelle connut, malheureusement, pour Bakomito, un grand engouement de la population de cette partie de la République où ces rencontres ludiques sont des moments assez particuliers de réjouissance populaire.

Jamais une activité n’avait attiré autant du monde et c’est le début de toute cette machination sortie des laboratoires clano-ethno-tribales cherchant, dans le noir comme en pleine journée, à éclabousser le jeune leader politique en vogue dans l’espace grand oriental, ex. Province orientale:

« C’est maintenant ou jamais de l’écarter, si non,c’est son ascension », se disent les détracteurs de Jean Bakomito parmi lesquels l’on retrouve , malheureusement, ceux là même pour lequel le Président de la Fondation Bakomito l’élu du Haut-Uele avait servi de béquille pour arriver là où ils sont comme autorités provinciales comme plusieurs autres bénéficiaires de sa largesse.

Tout recoupement fait, l’on peut bien retrouver les traces de la dynastie Nangaa qui a toujours considéré la province du Haut-Uélé comme sa « chasse gardée » où personne d’autres ne peut prétendre.

C’est ainsi que deux des anciens victimes de ces forfaitures des Nangaa, l’honorable Paulin Odiane et André Lite, Ministre honoraire des Droits Humains, ont reconnu leur modus operandi:

« Souvent, c’est des messages envoyés à partir des sims non identifiées, avec de pseudo noms qui sont utilisés dans le Haut Uele pour injurier, calomnier et s’attaquer aux élus dont on soupçonne selon on ne sait quels critères d’être de challengers »

Quand l’on lit juste en diagonale les inepties que ces envoyés de la Dynastie Nangaa essaient de faire gober comme de la potion magique aux internautes, on se demande bien s’ils ont à faire aux personnes d’un même siècle qu’eux ou des personnes d’une époque Néandertal qui ne savent pas que pour être lu , il faut un sujet plus attrayant et pouvant répondre aux attentes de la population, et de toute la République, et du Haut-Uélé, laquelle a toujours exprimé des besoins plus vitaux que sentimentaux du genre » tel a pris la femme de tel », des histoires vieilles de plusieurs millénaires que l’on peut retrouver dans la Bible et autres livres de légende.

Comme pour dire que les belles filles ne se retrouvaient qu’à Isiro alors qu’elles se comptent par milliers à Kinshasa et de toutes les couleurs.

C’est ce qui a même fait rire l’honorable Gatho qui ne s’est pas empêché de condamner la petitesse d’esprit des écrits irréfléchis distillés par les détracteurs de son fils, collègue et confrère,Jean Bakomito:

« Ça, ce n’est pas un projet politique. Si c’était pour une contradiction politique oui, mais si ce sont des gens qui n’ont pas de stratégies, qui n’ont pas d’intelligence assez élevée, estiment que c’est ça le combat, bon c’est leur affaire. Ce sont des médiocres. C’est ça ma réponse. Moi, j’aime mon épouse car elle m’est fidèle, je suis père de huit enfants, ça me … (regret), ce sont des médiocres. C’est tout ! », a réagi Me Gatho.

Cette réaction vient à nouveau confondre et désillusionner les détracteurs du jeune sénateur surtout dans sa province, le Haut-Uele. Incapables de l’affronter sur le front politique, ces derniers en perte de vitesse, s’évertuent désormais à des coups bas propres au politiciens de la rue en culotte pour estimer saper sa réputation et se donner une bouffée d’oxygène sur fond de mensonges et grotesques montages en plus d’exalter le tribalisme et la xénophobie à l’horizon des enjeux Électoraux de 2023.

« Ils craignent la montée en flèche de sa popularité, son intelligence et sa vision », note un internaute révulsé par cette folie politique caractérisée par des montages saugrenus des histoires invraisemblables à faire dormir debout comme la drogue « bombée« .

Il faut noter que le député national Paulin Odiane et le Ministre des Droits Humains sous IIunkamba, André Lite, eurent droit à une douche bien froide faite des mots désobligeants et déshonorants, des mensonges grossiers qui ont laissé tout ressortissant de cette province dubitatif.

Qu’ils m’ haïssent pourvu qu’ils me craignent

Loin des vacarmes de la cité, l’honorable Jean Bakomito poursuit paisiblement son bonhomme de chemin aux côtés de ses collègues sages du Sénat, toujours au service de la nation. C’est justement cette proximité avec le sommet du pouvoir qui fait, naturellement et inutilement, peur à ses détracteurs qui voient en ce dernier , un leader incontestable en 2023 dans cette province.

Cette manière de traquer le jeune prodige du Haut-Uélé laisse penser à la puissance de nuisance que peuvent bien avoir les ennemis jurés de ce jeune politicien qui n’a pas encore usé de toutes ses facultés. Cependant, et heureusement que Dieu est toujours au contrôle et qui le protège.

Au delà de cette confiance au protecteur, l’on est bien tenter de se poser la question de savoir jusqu’où iront ces nouveaux millionnaires en dollars devant lesquels tout genou doit fléchir et personne n’a le droit de lever son petit doigt pour revendiquer quoi que ce soit, une vraie dictature installée en plein 21e siècle dans un état qui se veut de droit d’après le vœu du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.

Dans cette partie du pays, même l’Igf, la cour des comptes ou autres institutions de contrôle ne peuvent pointer leur nez et où seule cette dynastie compte régner en maître faisant fi de toutes les lois de l’Etat.

Par ailleurs, seule la population de cette province croit à la descente, un bon matin , de l’imprévisible Jules Alingete qui serait déjà bien armé des preuves pour débouter tous les detourneurs des deniers publics de l’Etat au détriment d’un peuple de plus en plus pauvre assise sur des richesses incommensurables.

« Qu’ils m’ haïssent, pourvu qu’ils me craignent », disait l’empereur romain Caligula.