Par Siméon Isako

L’entourage du ministre de l’urbanisme et habitat affirme qu’un réseau des caciques de l’ancien régime FCC et autres spoliateurs du parc immobilier de l’Etat fomenté, cette semaine, depuis un hôtel huppé de la Gombe, « s’est décidé de chercher des poux sur la tête d’un chauve, [Pius Muabilu] ».

Ce groupe des politiciens, a choisi d’activer sa machine du « machiavélisme pour essayer tant soit peu d’intimider le ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala dans l’objectif de l’empêcher à matérialiser la vision du chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans le secteur de l’urbanisme et habitat où depuis des lustres des milliers de dollars ont dû échapper au trésor public, suite à la spoliation du patrimoine immobilier de l’Etat », décrient les services de Muabilu.

D’après ces services, « ces spoliateurs prétendent qu’ils resteront impunis, toutes les époques, les voici en perte de vitesse, multipliant des stratégies surannées pour étouffer l’opération amorcée par le ministre de l’urbanisme et habitat Pius Muabilu Mbayu Mukala, afin de restituer à l’Etat congolais son patrimoine immobilier ».

Qui vivra verra

Muabilu Mbayu Mukala Pius se veut « imperturbable« , et de ce fait, « il a le soutien populaire dans sa mission de rétablir l’Etat congolais dans ses droits, quelles que soient les messes qui sont dites dans les noirs contre sa modeste personne. Il serait prêt, tout compte fait, à publier la liste complète des fossoyeurs identifiés par ses services. Question de mettre au clair les choses« , disent ses proches.

Autre temps, autres mœurs !

Dans l’entourage du ministre d’Etat en charge de l’urbanisme et habitat, l’on affirme haut et fort que « le leader de Alliance pour l’avenir et du Congrès national congolais ne ménage aucun effort pour matérialiser la vision du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, celle d’instaurer un État de droit, du summum des institutions nationales à la base, contrairement à la République des hommes forts habitués à se servir en lieu place de servir le Congo d’abord« .

Les élus légitimes du peuple sont pris à témoin, du moins ceux épris du nationalisme pragmatique et de l’esprit patriotique. Le bureau Mboso est averti. Le peuple congolais reste impatient du mieux être et de son devenir radieux.