Par Marcel Kitambala

C’est dans un ton ferme que le Directeur du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme  a  au cours de la conférence de presse hebdomadaire de la Monusco  de ce mercredi 20 septembre  condamné, la tuerie de plus de 30 réfugiés burundais survenue le vendredi 15 septembre dernier au Sud-Kivu par les militaires congolais.

«Les récents évènements de  Kamanyola sont très sérieuxC’est inacceptable que les réfugiés soient tués même si des circonstances devaient justifier une réponse exceptionnelle », a-t-il déclaré.

José Maria Aranaz, a par la même occasion rappelé l’importance d’une enquête afin de déterminer les raisons d’un usage excessif de la force par les forces de sécurité.