Par Djodjo Vondi

Les résultats de l’enquête des Nations unies sur les attaques contre les casques bleus de la Monusco à Semuliki et Mamundioma dans le territoire de Beni au Nord-Kivu, une province de l’est de la RDC, ont confirmé que les Forces démocratiques alliées (ADF), ont été les hauteurs de ces actes. Confirmation publiée par ONU info depuis vendredi 02 mars.

« Les enquêteurs chargés d’examiner trois récentes attaques ayant visé des casques bleus en République démocratique du Congo (RDC) ont conclu que ces attaques avaient été menées selon un mode opératoire similaire et que toutes les preuves disponibles indiquaient que le groupe armé ADF (Forces démocratiques alliées) était l’attaquant », peut-il être lu sur le site d’information onusien. Le 07 décembre 2017, la base de la Monusco à Semuliki, avait été attaquée par des assaillants, causant la mort de 15 casques bleus tanzaniens et 43 autres blessés.

Avant cela, deux autres attaques avaient visées les casques bleus de la Monusco, à Mamudioma, le 16 septembre et 07 octobre 2017.