Par Roberto Tshahe

« Nous estimons que toute personne qui viole les droits de l’homme, qui est dans la chaine de commandement dans les forces de sécurité qui peut conduire à ce qu’il y ait des morts aujourd’hui en République démocratique du Congo ou alors qu’il y ait une entrave à l’organisation électorale, eh bien, nous pensons que ces personnes doivent être touchées ou visées par ces sanctions ciblées». C’est la déclaration de la députée européenne, Marie Arena, qui a soutenu ces sanctions, mercredi 28 février aux antennes de Radio okapi.

Pour ce député, ces personnalités ont le droit de réclamer un réexamen de leur dossier au cas où ils ne sont pas convaincues des accusations portées à leur charge. Et elle souligne cependant que « ces sanctions visaient toute personnalité qui a joué un rôle actif dans les actions des forces de l’ordre qui ont violé les droits de l’homme en RDC ».